Si les hâtives ont été plantées relativement tôt (mars), les cultures principales ont été installées dans des conditions difficiles et plus tard que la normale.
Les sécheresses et canicules extrêmes qui ont suivi ont pénalisé la croissance, de sorte que la production à venir est estimée à 6,5 millions de tonnes, soit 1 million de moins que l’an passé. Seul l’extrême nord a échappé à la météo extrême.
Ce sont surtout les régions de production de pommes de terre de consommation qui ont été touchées.